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communauté de communes des pyrénées audoises - Page 4

  • Une journée dédiée à la petite enfance

    communauté de communes des pyrénées audoisesL’ensemble de la profession aux côtés de Régine Dumas.

    Lundi 31 août, le centre de loisirs de la Plaine du Pont-Neuf servait de cadre à la toute première journée pédagogique du service petite enfance des Pyrénées Audoises. L’occasion de réunir les structures associatives, intercommunales, pour une rencontre également ouverte aux assistantes maternelles. Cette journée est le fruit d'un travail de projet mené depuis le début de l'année, en collaboration avec une équipe de professionnelles de chaque structure. Ainsi Laura, Catherine, Morgane, Stéphanie, Martine, Françoise et Régine avaient mis en place un programme à destination de leurs collègues. Lequel incluait un temps d'ateliers le matin, un repas au format auberge espagnole, et une conférence en après-midi.

    Avec un thème principal qui a permis d’aborder les émotions, un concept qui est partie prenante du travail au quotidien avec les tous petits. Ainsi l’assemblée a été invitée à écouter l’intervention de Vanessa Roblette, psychologue, qui a abordé un sujet centré sur « les émotions, les accueillir pour les apaiser ».

    Ce rendez-vous constructif était financée par la communauté de communes des Pyrénées Audoises, afin de créer du lien et de faire émerger une véritable identité petite enfance. Cette première a rencontré un vif succès auprès des trente professionnelles présentes, tout au long d’une journée de qualité, durant laquelle échanges, professionnalisme et convivialité ne furent pas de vains mots.

  • De la vice présidence à la Communauté de Communes des Pyrénées Audoises

    communauté de communes des pyrénées audoises,jacques mametJacques Mamet, vice-président à la Communauté de Communes des Pyrénées Audoises (CCPA), communique :

    « Jeudi 16 juillet 2020, Francis Savy a été réélu à la présidence de la Communauté de Communes des Pyrénées Audoises. Sur sa proposition, j'ai été élu au poste de vice-président en charge du sport et des infrastructures sportives, de la culture, de l’événementiel et du tourisme. Je précise que le nouveau bureau est composé de sept vice-présidents contre quatorze lors de la mandature précédente.

    D'aucuns s'interrogent probablement sur ma démarche, eu égard à mon positionnement vis à vis de la CCPA. En effet, je me suis exprimé clairement sur le sujet lors de la campagne pour les municipales à Chalabre. Dans mes écrits comme oralement au cours de la réunion publique du 6 mars 2020, j'ai indiqué que je partageais pleinement le sentiment négatif de beaucoup de Chalabroises et de Chalabrois vis à vis de l'intercommunalité. J'ai d’ailleurs précisé qu'il ne fallait pas exclure de quitter cette entité si une amélioration sensible de traitement n'était pas constatée. Dernièrement, en marge de la signature d'une convention entre la CCPA et la municipalité de Chalabre officialisant l'installation d'un « point info tourisme » à l'ancienne gare, j'ai fait connaître ce point de vue à Francis Savy.

    Alors, pourquoi avoir accepté ce poste de vice-président ?

    Lorsque Francis Savy m'a contacté pour me proposer ce poste, je lui ai renouvelé mon opinion sur la CCPA et la mandature précédente. Il m'a exposé ses intentions pour un éventuel prochain mandat, notamment sur le fonctionnement du bureau et les orientations du projet qu'il souhaitait défendre en tenant compte des erreurs reconnues et assumées du précédent exercice.

    En quelques mots, ce projet repose sur la mise en place d'un service public inter-communautaire plus proche et à l'écoute des bénéficiaires ; l'équilibre de traitement entre les territoires ; la prise en compte transverse de la dimension écologique et enfin une communication accrue qui bien évidemment implique l'écoute afin de renforcer le lien avec les administrés.

    L'équipe composée pour mener à bien ce projet m'a également séduit. Plus resserrée que précédemment, elle est déterminée à œuvrer au quotidien pour inverser le ressenti négatif envers la CCPA évoqué supra et tendre vers un sentiment d'appartenance communautaire.

    J'ai donc choisi d'être acteur plutôt que spectateur et j'assume ce choix.

    Je comprends qu'il puisse interpeller, j'entends que certains puissent ne pas l'approuver. Je m'engage à défendre les intérêts du Chalabrais, et plus largement ceux du territoire de l'ancien canton de Chalabre, en participant activement au cœur de cette nouvelle gouvernance. Soyez assurés de ma détermination et de la loyauté de mon engagement vis à vis de notre population. Au-delà de la délégation que j'ai reçue, je serai à l'écoute des élus comme des citoyens, pour dresser un état des lieux exhaustif des attentes (je sais qu'elles sont nombreuses), réfléchir ensemble aux projets à conduire dans l'intérêt de notre territoire et définir les contours de mon action. Je communiquerai prochainement les modalités de cette concertation.

    Je sais que la tâche sera ardue, je ne suis pas dupe et j'en mesure d'ores et déjà les difficultés. Pour autant, refuser ce poste revenait à s'exclure de l'organe décisionnaire de l'intercommunalité, c'est à dire se priver de la possibilité de peser dans le débat sur l'avenir de nos territoires. « L'obstination est le chemin de la réussite (Charlie Chaplin) ».

  • Communauté de communes : Une première réunion… dans l’illégalité

    jean-jacques aulombard,communauté de communes des pyrénées audoises

    En date du 20 juillet 2020, les élus de la Communauté de Communes des Pyrénées Audoises (CCPA), ont reçu une convocation pour la tenue d’un conseil communautaire programmé le 23 juillet 2020. Cette invitation, la première pour la toute nouvelle gouvernance de la CCPA élue le 16 juillet dernier, a amené Jean-Jacques Aulombard, maire de Chalabre, à adresser un courrier à Patrice Bouzillard, sous-préfet de l’arrondissement de Limoux :

    « Monsieur le sous-préfet, la Communauté de Communes des Pyrénées Audoises nous a transmis une convocation le lundi 20 juillet à 17 h 11, pour la tenue d’un conseil communautaire le jeudi 23 à 17 h. Conformément à l’article L.2121-11 du Code Général des Collectivités Territoriales, la convocation doit être adressée trois jours francs avant la date de la réunion.

    Monsieur le sous-préfet, la date de transmission de la convocation pour la réunion du 23 juillet 17 h m’interpelle, et je m’interroge sur la légalité de cette situation et de ses conséquences sur les décisions prises lors de cette assemblée. En effet, les délibérations votées par l’assemblée communautaire seront probablement caduques ou annulées par le contrôle de la légalité. Aussi, il me semble correct de vous informer au préalable, afin de reporter cette convocation et d’éviter un contentieux probable ».

    Après un échange de courrier avec la sous-préfecture, Jean-Jacques Aulombard précise que la réunion du jeudi 23 juillet a été reportée.

  • Lettre ouverte des contribuables citoyens de la Communauté de Communes des Pyrénées Audoises

    Le regroupement des quatre anciennes communautés de communes devait favoriser les économies de gestion, aussi bien du point de vue des frais de gestion, que de la mutualisation des moyens techniques.

    Au terme du premier mandat, force est de constater que les frais de personnel ont sensiblement augmenté. A la fin de cette dernière mandature, quatre maires représentant plus de la moitié des administrés, ont saisi la Chambre régionale des comptes Occitanie, pour suspicion de mauvaise gestion. Le rapport de la Chambre régionale des comptes est accablant, et met en lumière « des écritures budgétaires insincères, et si nombreuses, qu’il est impossible de les énumérer ».

    Trois exemples suffiront à mieux appréhender la situation, le premier d’entre eux étant d’une indéniable actualité, avec les recettes du budget Ordures ménagères (une augmentation de 47 % que vous avez tous constatée), et qui ne figurent pas au budget général. Par ailleurs, les biens que s’apprête à vendre la CCPA dans le but d’équilibrer ses comptes, figurent en prévision de 250 000 €, alors que la Chambre régionale des comptes les estime à 20 000 €. Quant à la subvention d’équilibre de l’Office de Tourisme, à hauteur de 745 000 €, aucune trace non plus dans le budget général.

    Au final, ces acrobaties financières se traduisent par un déficit global de fonctionnement de plus de 1 million 170 000 €, et plus de 500 000 € en investissement.

    Madame, Monsieur, rapprochez-vous de vos candidats aux municipales pour en parler !